La communauté étudiante représentée dans les instances de l’université
Esteban Bougeard et Gwendoline Valentin, vice-présidents étudiants de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, œuvrent aux côtés de Raphaëlle Laignoux, vice-présidente chargée de la Vie étudiante et de campus, et Jérôme Glachant, vice-présidents chargé de la Formation, de l’Innovation pédagogique et numérique (commission de la Formation et de la Vie universitaire), au service des étudiants de l’université.
Des missions communes
Membres élus des instances de l’université, Jérôme Glachant et Raphaëlle Laignoux animent les échanges et conduisent les travaux de la commission Formation et Vie étudiante de l'université (CFVU). “Notre rôle consiste à veiller à ce que les élus puissent y débattre de questions relatives aux conditions d’études des étudiants comme l’accès aux aides sociales et aux soins, aux dispositifs de lutte contre toutes les formes de discriminations et aux possibilités qui leur sont offertes de s’engager ou de mettre en oeuvre des activités sportives et culturelles à l’université”, explique Raphaëlle Laignoux.
Individuellement et en lien avec le service de la Vie étudiante, la vice-présidente soutient et encourage tous les projets qui permettent d’assurer de meilleures conditions de vie et de travail aux étudiants lors des commissions FSDIE et CVEC qu’elle préside. D’après elle, “améliorer de manière globale la qualité de vie des étudiants permet de favoriser leur réussite et leur épanouissement personnel.” De son côté, Jérôme Glachant est chargé “de valider les modalités du contrôle des connaissances et de veiller à la répartition des moyens parmi les formations”. Il est également chargé des relations avec le rectorat en ce qui concerne les procédures d'admission en licence et en master.
De leur côté, Gwendoline Valentin et Esteban Bougeard, respectivement vice-présidente étudiante du conseil d’administration et vice-président étudiant du conseil académique ont été nommés et élus l’hiver dernier au sein des différents conseils de l’université. À ce titre, ils représentent la communauté étudiante au sein des instances démocratiques de l’université. Leur rôle, avant tout politique, permet d’assurer le lien entre la présidence et la communauté étudiante, et en particulier avec les organisations étudiantes. "Être vice-présidents étudiants, c’est également être porteurs de projets d’avenir pour la communauté universitaire”, expliquent-ils.
Au service de la communauté étudiante
Depuis leur élection, chacune et chacun a pu mener à bien plusieurs projets au sein de l’université. Nommé fin janvier 2021, Jérôme Glachant a travaillé en lien avec le Département des langues à l’ouverture d’un nouveau diplôme universitaire à destination des étudiants en exil : Passerelle Étudiant en Exil Panthéon Sorbonne (PEPS). Il a également veillé à ce que les formations, notamment les licences, disposent de plus de moyens pour créer des groupes de travaux dirigés. Par ailleurs, depuis sa prise de fonction, Raphaëlle Laignoux a été largement mobilisée sur l’amélioration des services offerts par le service de Santé universitaire (SSU). Elle est notamment parvenue à doubler la dotation financière du SSU, afin de développer les consultations de prévention et le pôle psychologique du service de façon à ce qu’un plus grand nombre d’étudiants soient accompagnés. Quant à Gwendoline Valentin et Esteban Bougeard, ils ont, depuis le début de leur mandat et en lien avec le service de la Vie étudiante, mis en place les fondations d’un partenariat régulier de distributions de protections périodiques durables au sein de l’université dont la première s’effectuera dans quelques semaines. Ils ont aussi pu prendre part à l’organisation de différents événements associés à la célébration des 50 ans de Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Grâce à eux, étudiantes et étudiants deviendront acteurs et actrices des célébrations et de l’organisation des festivités.
Ces quatre représentants de la communauté étudiante ne manquent pas d'ambitions. Parmi les nombreux projets portés, il y a la volonté de Jérôme Glachant de réduire le poids des examens dans le déroulement des formations. “L'évaluation constitue évidemment une continuité de la formation, mais elle devrait davantage être intégrée par le contrôle continu", explique-t-il. Raphaëlle Laignoux, met elle en avant trois priorités. Elle souhaite tout d'abord intensifier la lutte contre la précarité étudiante dans la mesure des moyens de l’université. Sa deuxième priorité concerne la lutte contre les discriminations et les violences sexistes et sexuelles : en étroite collaboration avec la référente égalité de l’université, Armelle Andro, elle souhaite mettre en place des formations et surtout un meilleur accompagnement des victimes. Puis, après plus d’un an d’enseignement à distance, elle aimerait revitaliser la vie associative de l'université en lien avec le service de la Vie étudiante et les deux vice-présidents étudiants. Ces derniers travaillent d’ailleurs à la création d’un budget participatif, à la mise en place d’un réseau d’alumni et à d’autres projets qui seront dévoilés au cours de l’année.